martes, 16 de junio de 2015

DES VÉNÉZUÉLIENS LAISSENT UNE GRÈVE DE LA FAIM APRÈS UNE DÉCLARATION D'ONU





Deux étudiants et le général vénézuélien Antonio Rivero, le président de son pays a ordonné à qui d'arrêter en 2014, ils ont fini la grève de la faim qu'ils maintenaient en face des Nations Unies après que l'organisation internationale demandait le lundi la libération de Vénézuéliens arrêtés pour "exercer pacifiquement son droit à la liberté d'expression". L'Hauteur Commissionnée par les Droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein, il a déclaré à Genève qu'il est "sérieusement préoccupé" sur la légalité et les conditions auxquelles ils s'obstinent aux détenus. 


"Ils portent certains dans une grève de faim quelques semaines déjà ce qui augmente notre préoccupation. Ils devraient être libérés d'une forme rapide et inconditionnelle", a dit le fonctionnaire durant le discours d'ouverture de la réunion annuelle du Conseil des Droits de l'homme de Nations Unies. Au Hussein il a aussi dit que les menaces le préoccupent ", le harcèlement et la disqualification publie" des défenseurs des droits de l'homme et qu'il est disponible de parler aux autorités vénézuéliennes et les victimes de ce sujet. 

Rivero et les Vénézuéliens étudiants Josmir Gutiérrez et Eduardo Bavaresco ont initié une grève de la faim la semaine passée pour exiger l'ONU qui se soulevait et exigeait la libération de dizaines d'étudiants pris dans le pays sud-américain après quelques protestations antigouvernementales en 2014. Le lundi ils se sont déclarés satisfaits du soulèvement militaire d'Al Hussein. "C'était un court soulèvement militaire mais nous croyons qu'il a été contondant", a dit Gutiérrez qui a aussi remarqué que deux réunions ont été fixées avec fonctionnaires de l'ONU pour donner un suivi aux cas de prisonniers en Venezuela. 

Des porte-parole de la mission de la Venezuela devant les Nations Unies n'ont pas répondu d'une forme immédiate une demande de réponse de la part d'Associated Press. Cependant, la semaine passée ils ont émis un communiqué à travers duquel ils ont repoussé les déclarations qu'a faites Stephane Dujarric, porte-parole du Secrétaire général de Nations Unies, et celui qui a exprimé des doutes sur la légalité des processus judiciaires en Venezuela. Dujarric a aussi dit que l'Hauteur Commissionnée par les Droits de l'homme est préoccupée par les conditions des prisonniers. "La République Bolivariana de la Venezuela exprime son rejet catégorique de ce soulèvement militaire, réalisé au nom de l'Hauteur Commissionnée pour les Droits de l'homme", il a remarqué la mission. 

"Les déclarations émises par le porte-parole du Secrétaire général affaiblissent la crédibilité institutionnelle du Conseil des Droits de l'homme dans la mesure dans laquelle ils préjugent le fonctionnement institutionnel d'un pays membre de cette organisation, et dépassent les mécanismes établis par celui-ci, comme l'Examen Périodique Universel et les organes des traités", il a ajouté. Rivero est membre du parti la Volonté Populaire de quelle forme, il divise, le leader de l'opposition vénézuélienne Leopoldo López, qui trouve pris. 

L'ONU a déclaré son arrêt de presqu'un mois en 2013 de la part du gouvernement vénézuélien comme arbitraire et a demandé au président vénézuélien Nicolas Maduro de mésestimer le cas contre lui. Et encore, Mûr il a ordonné à nouveau sa détention en février 2014, en l'accusant d'avoir entraîné aux "groupes fascistes" qui ont participé aux protestations d'étudiants.

Le militaire retiré a passé alors à la clandestinité jusqu'à un janvier, quand il est apparu à New York pour demander à l'ONU qu'il fût prononcé sur son cas et sollicitât le gouvernement vénézuélien qui s'accomplissait avec les directrices émises à sa faveur par des Nations Unies en 2013. Le lundi Rivero a dit à l'AP que la déclaration de l'ONU représente une "réussite d'objectifs" mais qu'il suivra de près ce qui fait l'organisme pour que le sujet ne reste pas seul dans des mots simples. 

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